
Comment l’architecture d’intérieur peut accompagner un couple à trouver son socle commun
Connaissez-vous les subtilités d'un lieu de vie de couple ?
Un jeu d’équilibre entre deux histoires, deux sensibilités deux visions
Nous avons une relation avec les lieux qui est souvent laissée au fil de l’eau, au hasard, à la chance et qui ne se met pas suffisamment en mots. De fait on va se laisser porter par « c’est tout ce qu’on a pu trouver maintenant »….
Or nous avons une capacité de mettre notre pied dans la porte pour ne pas se laisser enfermer dans des relations avec des lieux, des personnes, des circonstances qui n’auraient pas notre vitalité et son renforcement comme finalité réelle.


Comment décrypter ce que notre futur lieu de vie veut nous dire ?
Lors de la première rencontre avec le lieu, nous avons tous un ressenti immédiat, lorsque nous arrivons pour la première fois.
Je milite pour que nous tenions compte de ces informations parfois ténues, parfois très fugaces, parfois sous la surface alors qu’on en sent quelque chose. Parce que laisser de côté ces informations importantes qui viennent de notre boussole personnelle, de notre moi profond et ne donner que la priorité absolue qu’aux critères strictement habituels (superficie, proximité… ) est dangereux.
La première rencontre avec le lieu est un moment magique et dangereux durant laquelle il ne faut pas se laisser mettre la pression de l’achat. Souvent l’agent immobilier pousse à l’achat sans nous laisser le temps d’écouter ces messages du lieu.
Si nous écoutons vraiment, nous savons en toutes circonstances ce
qui vraiment est au service de notre vitalité :
- notre plexus s’ouvre, on va se sentir mieux
- ou au contraire on perçoit que le lieu est énergivore
Une fois que l’acte d’achat a eu lieu, nous sommes en lien durable avec un espace qui lui aussi a ses besoins. Il est important d’être absolument ouvert, à une forme d’intuition, être disponibles à ce que ces premières rencontres sont capables de nous transmettre.
Pourquoi certains lieux semblent “résister” aux changements ?
L’implantation du lieu est engageante pour la santé des futurs habitants. Nous ne mesurons pas toujours l’impact des facteurs environnementaux locaux naturels et artificiels sur le vivant et en particulier l’être humain.
L’architecture d’intérieur que je pratique intègre avec ce volet de médecine de l’habitat, la dimension énergétique de la vie de la terre avec ses phénomènes propres (un peu comme en médecine chinoise avec l’étude des méridiens) et puis une dimension énergétique plus quantique de l’ordre de l’information qui peut être présenté en un lieu notamment comme témoins de l’histoire du passé qui s’y est déroulé.
Parfois, mes clients dorment mal, voient leur carrière stagner, leurs
projets ne jamais aboutir.
Il est important de prendre conscience que certains lieux résistent aux changements, car ils possèdent intrinsèquement une certaine trace de mise en mémoire dans l’espace.
On peut aussi classer ces traces selon deux axes : naturels ou
artificiels.
Sur tous mes chantiers, je réalise un nettoyage Géobiologique de ces phénomènes naturels et artificiels, qui intègre une détection :
- du sous sol en lui même, d’où découle des énergies telluriques impactantes (eau, failles, radon)
- des champs électromagnétiques artificiels qui vont interagir avec ce sous sol (antennes, téléphone) + champs électromagnétiques au sein de l’habitat : wifi, gaines électriques
- du principe constructif du bâtiment (qualité de l’air à l’intérieur)
- le contexte énergétique subtil : qui regroupe tous les phénomènes perceptifs comme la mémoire du lieu, la mémoire des murs, la présence d’entité (cohabitation avec des colocataires indésirables).

Comment la création d’un refuge partagé peut devenir une étape précieuse dans un parcours de vie ?
Très souvent on fait appel aux services d’architecture Intégrative de mon cabinet pour une problématique qui peut être juste je dors mal ou je me sens pas bien chez moi.
Parfois ça peut être plus défini comme rénover l’ensemble de la maison, ou parfois c’est juste par rapport à la décoration.
Donc l’idée c’est de faire connaissance avec cette maison mais comme si je faisais connaissance avec une personne. C’est-à-dire que la maison devient un outil pour construire son épanouissement et apprendre à mieux se connaître.
Très souvent on appréhende notre lieu de plus de manière esthétique alors que si on commence à se poser les bonnes questions en matière de ressenti, on va découvrir des choses assez étonnantes qu’on n’avait peut-être pas appréhendé comme :
- notre rapport au confort,
- à notre santé,
- à notre bien-être
- et au-delà des couleurs et des formes ce que ce lieu il vient révéler de ma personne.
Donc l’idée c’est un peu de reprendre le pouvoir et d’être plus souverain… Je pratique l’architecture intégrative parce que si on ne traite pas un ensemble, si par exemple vous faites un tas d’exercices physiques, si vous avez une bonne alimentation mais que chez vous il n’y a pas ce même équilibre, c’est un petit peu
comme si ça ne servait pas à rien mais vous voyez ça ne va pas être optimisé.
Mon objectif, c’est de favoriser le renforcement de l’énergie vitale de l’individu. Sans intervention majeure sur la structure de la maison, nous pouvons créer un effet apaisant ou dynamisant.
A vous de jouer maintenant
Commencez par ressentir votre logement et à vous débarrasser de ce qui vous nuit. Les éléments de votre vie extérieure qui engendrent mal être et pensées négatives, déséquilibrent notre maison intérieure.