Florence Monroe : architecte d'intérieur à Lyon

Florence Monroe avance dans la vie avec une jubilation foisonnante. 

Disons-le, Florence a vécu 1000 vies à force de curiosité et d’ouverture d’esprit. Le monde est son pays avec ses histoires, ses senteurs, ses artistes. Elle a vécu à Berlin, à Buenos Aires, à Saint Louis avant de revenir à Lyon. Elle voyage aussi par les évocations que lui livrent les objets et les matières. Parlez-lui de la malle des Indes découverte dans son enfance et vous serez transportés. 

Ses inspirations sont multiples et hétérodoxes, de Jules Verne à Sherlock Holmes, du verdoyant Vietnam aux courbes colorées de Cuba, en passant par les artistes de tous les domaines. Ils sont designers - Ben Simon, Indiana Madhavi, Tricia Guild – ou sculpteurs - Ipousteguy lui a montré que le grand était possible-, cinéastes, peintres... Ses perceptions sont pléthores et sa sensibilité infinie. Depuis toujours, les objets et les maisons lui parlent. 

Après avoir enseigné le français, la professeure passionnée décide de suivre son élan vital. Elle devient architecte d’intérieur et se forme avec un « blind designer » sur l’énergie des couleurs trouvant enfin une réponse formelle à ce qu’elle sait déjà : il existe une relation entre l’occupant et sa maison. « Il m’a fallu du temps pour comprendre à quel point notre habitation influe sur notre équilibre et reflète notre état d’esprit, impacte même notre personnalité. »

Diplômée, rigoureuse, Florence réinvente son métier avec finesse et générosité. Il est temps de créer, il est temps de soigner. Elle veut apporter à chaque projet qu’elle mène tout le soin que méritent ses clients dans le changement qu’ils opèrent.



Florence parle avec entrain de la rencontre et de l’écoute qu’elle leur accorde, au départ du projet.  Un échange sans fard, expérientiel, loin des modes et des tendances, pour saisir ce qui répondra à leurs besoins profonds. De la chaleur, le souvenir d’un parfum de foret, l’explosivité de couleurs chatoyantes, la douceur d’un velours, le parfum d’un cigare de la Havane, le ruissèlement d’une fontaine. Le voyage commence et Florence emporte son client vers sa maison.

Tout est permis. Le projet sera singulier, l’espace, forcement mis en scène, dans une interprétation subtile et bavarde. Les souvenirs fugaces des occupants remontent et apportent à l’espace ce supplément d’âme puisé dans l’histoire. Il y aura aussi pleine d’idée pour après quand ils seront dans leur cocon... L’abri caché pour lire à l’ombre des noisetiers, le charme désuet du radiateur en fonte finalement conservé, l’espace gagné derrière pour accueillir les livres... Florence installe par touches l’univers du futur occupant et projette dans l’espace, les lignes et la lumière pour le raconter.

Romantique, esthétique, authentique, ici l’architecture d’intérieure est une proposition pour rentrer chez soi, enfin. Libéré des tendances ou de toutes prétentions, l’art de Florence troque la mode contre la joie, l’apparence contre l’atmosphère, le brillant contre le scintillant.



Ce faisant elle propose mine de rien un art de vivre à ses clients. Comme une gorgée de vie à saisir et à faire fructifier. On vous l’avait dit : sa jubilation est contagieuse...